Je rappelle à celles et ceux qui passeraient par ici, que les notes sont généralement incomplètes car je relève ce qui m'intéresse ou ce dont je veux me rappeler. Le mieux pour vous étant, de regarder les videos et de prendre vos propres notes.

Vidéo de Thierry Des fruits bien acides .. vivrecru.org

Fruits climactériques et non climactériques

Je rappelle à celles et ceux qui passeraient par ici, que les notes sont généralement incomplètes car je ne relève dans cette vidéo de Thierry Casasnovas que ce qui m'intéresse ou ce dont je veux me rappeler, le mieux pour vous étant, de regarder la video et de prendre vos propres notes
Je me dégage de toute responsabilité quant aux erreurs éventuelles de compréhension et autres. 
Vous pouvez m'aider à rectifier si nécessaire, pourvu que ce soit dit gentiment.

Vidéo de Thierry DIalogue sur la boulimie… »ni par puissance , ni par force… » 
- carottes  (pas particulièrement détoxinant)
- radis noir (puissant détoxinant)
- persil (puissant détoxinant)
- betterave (puissant détoxinant)
 
Approche de la détoxination :
- monodiète de banane
 
Ce qui est dit sur le vide dans l'être ressenti dans le corps est passionnant.
Ca me rempli de joie car je trouve une confirmation de ma propre conclusion.
Quand je me suis tournée vers le Christ, je n'ai plus eu besoin de me remplir jusqu'à la douleur comme je le faisais.
Quand on outre mange, on se trompe de faim.
En tout cas, c'est ce qui m'est arrivé.
Chercher de quoi on a réellement faim.
Moi, j'avais faim de Dieu.
Ce genre de faim ne se calme pas autrement qu'avec de la nourriture spirituelle.
Avec elle, on peut accepter, joyeusement, de ne pas maîtriser les choses.
Cette nourriture spirituelle me permet d'expérimenter la confiance, la confiance totale.

***

« Il y a dans le cœur de chaque homme un vide en forme de Dieu, et nul autre que Lui ne peut le combler. »

Blaise Pascal
 

Quatre nuits d'insomnie quasi complètes.L'horreur totale d'autant que je vis dans un appartement bruyant (nuisances sonores extérieures, logement trop petit pour quatre personnes). Aucun refuge où trouver du silence. C'est la deuxième fois que ça m'arrive dans ma vie. Je ne le souhaite à personne. Nerfs à vif, jambes flageolantes, sueurs, tête lourde, oreilles à vif, le moindre bruit prend une ampleur phénoménale. Et l'entourage qui fait de gros efforts pour comprendre mais ne comprend pas tout à fait. Je n'ai pourtant pas encore introduit les jus. Je n'ai même pas encore éradiqué totalement le gluten, les aliments cuits. J'en suis à manger des fruits et légumes crus le plus possible, à me faire des smoothies de bananes et des tisanes sans miel.

Aujourd'hui exemple, voilà ce que j'ai consommé : De l'eau additionnée du jus d'un citron entier3 pommes5 petites carottes râpées2 petites pommes de terrequelques bouquets de chou-fleur cuit à la vapeurtisane de romarinNi corps gras ni sel. 
Je m'y fais plutôt bien.
Je vais souvent aux toilettes. J'ai la tête moins lourde mais j'ai les oreilles qui sifflent. Je n'ai plus envie de cuisiner pour ma famille. Je ne sais pas ce que ça faire à long terme. Hier, je suis allée dans une moyenne surface pour trouver des bananes bio, mûres, parce que celles de la biocoop n'étaient pas encore consommables, mais je n'ai rien trouvé. J'ai quand même fait un tour dans les rayons et ça m'a fait un drôle d'effet. Impression de voir la réalité telle qu'elle est pour la première fois de ma vie. Un rayon bio tellement petit que ç'en était presque risible si ce n'était pas si atroce. Envie de partir à la campagne réfreinée depuis tellement longtemps. Ma famille ne suivrait pas. Faut-il que je la mette en balance pour suivre mes aspirations profondes et vivre ma vivre en cohérence avec ce que je ressens ? Gros chagrin. Il y a peut-être une solution à laquelle je n'ai pas encore pensé ? Je cherche pourtant, j'y ai passé de nombreuses nuits, à tourner ça dans tous les sens.Je garde espoir. D'ici peu, je pourrai commander l'extracteur de jus. Ca me réjouit tellement. Ca fait plus de trente ans que je malmène mon corps avec de la nourriture qui ne me convient pas, dans des quantités qui m'ont amenée à être obèse. Hyperphagie lâche-moi. Je me suis trompée de faim. J'ai mis tellement de temps à le comprendre. Je suis passée par la dépression, des régimes, plus draconiens les uns que les autres, reprise de poids, découragement, épuisement psychique. Impossible de vivre dans cette guerre permanente. J'ai mangé pour m'empêcher de parler, pour être bien sage, pour ne pas dire non, pour ne pas fâcher, pour me faire mal, pour me détruire, pour mourir plus vite. Si je ne réagis pas maintenant, je mourrai, c'est sûr. Je ne peux plus faire trois pas sans être essouflée, le sang cogne dans ma tête, la pression artérielle est trop haute, je ne peux plus courir. Impossible de faire comme si de rien n'était. C'est le bon moment. Je peux de nouveau communier à la messe. C'est une immense joie. Je vais puiser ma force dans l'eucharistie. Le Christ me soutiendra mieux que quiconque. Par amour pour lui, je cesse de me détruire, par amour pour lui, je fais tout pour reprendre des forces, pour être sur pieds et le servir aussi bien que je pourrai. Cet élan ne vient pas de moi. Je n'ai jamais rien fait pour prendre soin de moi, bien au contraire. J'ai saccagé mon corps, fait de mauvais choix de vie. Je ne cherche pas à convaincre qui que ce soit. Si le changement, la métamorphose tant attendue survient, elle parlera pour moi. Je ne fais plus vraiment d'effort pour sortir mes enfants de leurs mauvaises habitudes alimentaires. Je les laisse faire, de toute manière, je n'ai plus la force de me battre sans cesse. J'ouvre la voie et ils suivront, si ça leur dit, si c'est leur chemin. Pour une fois, je n'attends pas l'approbation extérieure. Je reçois déjà le respect, c'est énorme.